En France, 3 500 enfants venant de l’étranger ont été adoptés en 2010. Si, depuis, le nombre d’adoptions d’enfants pupilles de l’Etat ou nés sous le secret est resté stable, celui des adoptions internationales a largement chuté – de l’ordre de quelques centaines par an. Or les familles de ces enfants, devenus adolescents depuis, peuvent être confrontées à des difficultés éducatives. A Paris, l’association Olga Spitzer expérimente depuis un an une action éducative à domicile (AED) spécifique, visant à aider ces parents. Un projet pensé en lien avec le bureau d’adoption de la capitale, qui pourrait faire évoluer les pratiques d’accompagnement…
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