« Bienvenue dans mon antre », lance malicieusement Christophe(1) en poussant la porte de son trois-pièces cossu d’une petite ville à 30 km de Strasbourg. A peine a-t-il connecté son ordinateur à la ligne de SOS Amitié que celui-ci n’arrête plus de sonner. A 72 ans, le professeur d’allemand à la retraite est écoutant bénévole depuis dix ans de l’association SOS Amitié Strasbourg. Comme 12 des 40 autres bénévoles, il s’est porté volontaire fin mars pour basculer en écoute à domicile et optimiser ainsi ses capacités d’intervention. Car, depuis le début de la crise sanitaire, les appels aux numéros de SOS…
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