Vero Cratzborn a horreur des étiquettes. Elle ne veut surtout pas être enfermée dans un rôle, ni que quiconque le soit. Alors, pour parler de son film La forêt de mon père, en salle depuis le 8 juillet, elle marche un peu sur des œufs. « Ce n’est pas un documentaire, ni un copier-coller de mon histoire, c’est une fiction », insiste-t-elle. Une fiction pour le grand public inspirée de son parcours, dans laquelle l’héroïne, la jeune Gina, veut sauver son père, Jimmy, atteint de psychose. La maladie – la schizophrénie – n’est jamais nommée. Vero Cratzborn non plus n’utilise jamais ce terme. « A un moment, mon père a perdu contact avec la réalité »,…
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