L’ANAS appelle tous les professionnels et les personnes accompagnées à une « vigilance constante » concernant ces situations « qui trompent sur le titre de leurs interlocuteurs tout en portant atteinte à la profession ainsi qu’au titre d’assistant de service social ». Pour contribuer à la protection du titre, l’association a mis en place un groupe intitulé « usurpation de titre » composé de membres du conseil d’administration et chargé du suivi de ces situations ainsi que des procédures à mener. L’association saisit « systématiquement les autorités compétentes dès que des preuves suffisantes sont réunies et permettent de caractériser un exercice illégal de la profession ».
L’ANAS rappelle que l’enregistrement du diplôme au répertoire ADELI auprès de la délégation départementale de l’agence régionale de santé (AR
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?