Dans un rapport publié le 29 juin, l’Unicef pointe l’enfermement administratif des enfants migrants, la dégradation de la situation des mineurs non accompagnés, l’ampleur de la non-scolarisation en Guyane et la nécessité de rapatrier les enfants de combattants français en Syrie et en Irak.
Tous les cinq ans, le Comité des droits de l’enfant réalise une étude dont l’objectif est de s’assurer que chaque pays signataire de la convention internationale éponyme prend les mesures nécessaires pour assurer leur respect et faire évoluer la situation. Mais également de formuler des recommandations.Pour Sébastien Lyon, directeur général de l’Unicef, il est essentiel de « rappeler les nombreuses entraves qui existent encore à l’effectivité des droits de l’enfant en France. (…) L’intérêt supérieur de l’enfant n’est pas une option et devrait primer sur toute autre considération, notamment la limitation des dépenses publiques ou encore la politique…
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