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Vignette d'un atelier

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« L’un des participants m’a d’ailleurs confié “se sentir bien au contact des animaux, puisque ceux-ci ne jugent pas” », explique Cyprien Denous, psychologue en Ehpad et en EqAAR (équipe d’appui en adaptation et réadaptation).

Crédit photo DR
[MEDIATION ANIMALE 15/23] Pour les résidents, l’intérêt de l’atelier est de pouvoir interagir avec des animaux, de leur donner à manger, de les caresser, de jouer avec eux. De s’ouvrir aux autres. Avec succès ou échec, selon les situations.
 

Mme L. et le chien, la confusion

L’atelier avait lieu une fois toutes les deux semaines. La médiatrice animale venait avec au moins un chien, deux cochons d’Inde et parfois un deuxième chien. L’idée était d’avoir un groupe de cinq ou six résidents dont certains venaient de façon régulière pour avoir une certaine stabilité, sans pour autant fermer le groupe. L’enjeu était ainsi pouvoir intégrer des nouveaux, notamment des personnes ayant des troubles cognitifs ou diagnostiqués Alzheimer. Un point important avant d’intégrer un nouveau participant était de savoir s’il avait déjà eu des animaux, et s’il était d’accord. Et pour cause, la sérénité est recherchée…
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