Mme L. et le chien, la confusion
L’atelier avait lieu une fois toutes les deux semaines. La médiatrice animale venait avec au moins un chien, deux cochons d’Inde et parfois un deuxième chien. L’idée était d’avoir un groupe de cinq ou six résidents dont certains venaient de façon régulière pour avoir une certaine stabilité, sans pour autant fermer le groupe. L’enjeu était ainsi pouvoir intégrer des nouveaux, notamment des personnes ayant des troubles cognitifs ou diagnostiqués Alzheimer. Un point important avant d’intégrer un nouveau participant était de savoir s’il avait déjà eu des animaux, et s’il était d’accord. Et pour cause, la sérénité est recherchée pour ce moment d’échanges. Pas question d’angoisser ou de stresser des personnes qui ont peur ou ne sont pas à l’aise avec les animaux.
Mme L. est arri
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