Publié le : Dernière Mise à jour : 22.10.2024Par : Andrew Alston président de l’association Jardin & Santé, Jean de Faultrier administrateur de l’association Jardin & Santé, Maïté Delmas administrateur de l’association Jardin & Santé, Virginie Le Tarnec administrateur de l’association Jardin & Santé, fondation Médéric AlzheimerLecture : 6 min.
Andrew Alston président , Maïté Delmas et Jean de Faultrier administrateurs de l’association Jardin & Santé.
[JARDIN THERAPEUTHIQUE 13/18] On ne naît pas jardin thérapeutique, on le devient... Au-delà d’un léger détournement de la phrase célèbre de Simone de Beauvoir, cette affirmation prend son sens avec les mots du Docteur Thérèse Rivasseau Jonveaux lorsqu’elle énonce que le jardin devient effectivement thérapeutique dès lors qu’il instaure « une aide au processus de soin ».
Espace, temps et vie
Tout l’intérêt s’exprime à travers les mots simples et évocateurs de l’appellation retenue « jardin thérapeutique » ou « jardin à visée thérapeutique ». Le jardin existe depuis la nuit des temps, ce mot jardin que l’on utilise aujourd’hui est forgé au XIIe siècle à partir du gallo-roman « gardinus » qui définit un enclos proche de l’habitation où l’on cultive notamment des légumes et plantes nécessaires à l’alimentation de la famille. S’il s’agit bien de nouer un dialogue vivrier avec la nature, il est intrinsèquement question de vie et de soin, reste à en faire émerger les contours et le sens, à en affirmer l
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