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Maintenir le lien social pour modifier les regards

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« Permettre au résident qui est transféré à l’unité protégée de continuer à voir ses pairs est un réel objectif dans son accompagnement », explique Richard Mesplède, formateur et ancien animateur en Ehpad.

[ALZHEIMER FRIENDLY 4/16] Dans les Ehpad dotés d’une unité protégée, le regard des résidents à l’égard de leurs pairs atteints de troubles cognitifs est bien trop souvent le même : les malades d’Alzheimer et de démences apparentées sont désignés comme « fous », l’unité protégée étant considérée comme un asile psychiatrique.

Démystifier la maladie

Un tel regard porté sur la maladie par des personnes âgées dites « plus autonomes » trouve ses sources à travers de nombreux facteurs et ouvre toute une réflexion sur les conséquences de cette stigmatisation. La peur de la maladie, l’effet « miroir » de ce que la personne âgée peut devenir, l’inconnu de ce qu’est une unité protégée et de ce qu’il s’y passe sont autant de raisons qui expliquent ce phénomène de rejet à l’encontre des résidents les plus dépendants

Il s’agit en premier lieu de prendre le temps d’informer les résidents sur la maladie elle-même. Cela peut se faire de façon individuelle, informelle ou b

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