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RSA : renforcer l'accompagnement plutôt que les sanctions

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Trois départements s'opposent à l'idée d'un RSA sous condition.

Crédit photo shane - stock.adobe.com
Les départements de Loire-Atlantique, d’Ille-et-Vilaine et la Métropole de Lyon réagissent au rapport de la mission de préfiguration de France travail, qui remplacera Pôle emploi à partir du 1er janvier 2024. Les trois collectivités de gauche engagées dans l’expérimentation formulent trois conditions non négociables.

Suivront-elles un jour la même voie que la Seine-Saint-Denis ? Fin mars, ce département avait choisi de se retirer de l’expérimentation sur « l’accompagnement rénové des allocataires du RSA ». Son président, Stéphane Troussel (PS), fustigeait « la doctrine du gouvernement en matière de conditionnalité des aides ». Résultat : des 19 collectivités retenues en décembre 2022 pour expérimenter le dispositif, censé avoir débuté en avril, seules trois d’entre elles affichent une majorité de gauche.

Un engagement responsable et lucide

Cinq jours après la remise du rapport, mercredi 19 avril, sur France travail, qui réaffirme le principe « de 15 à 20 heures d’activité d’insertion par semaine »

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