Après des mois, voire des années de « débats » et de « frustrations » – termes employés par son président fraîchement confirmé Jérémie Boroy –, le Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) entame sa nouvelle mandature (2023-2026) sous des auspices plus inclusifs. Un décret du 30 août en modifie ainsi la composition et l’organisation, avec une réforme qui impose désormais un quota de 60 % de personnes porteuses de handicap au sein de ses membres. Une meilleure représentativité qui n’est pas allée de soi, une vision paternaliste et certaines (mauvaises) habitudes étant des défauts largement partagés, y compris dans le milieu associatif. « Auparavant, à la louche, il y avait au mieux un quart du CNCPH qui était concerné
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