Sans l’avoir cherché, nous avons effectivement rencontré presque exclusivement des jeunes filles. Ce n’est pas surprenant quand on s’intéresse à des activités liées à la sphère du « care », dont on sait qu’elles reviennent majoritairement à la gent féminine. Ce mouvement n’a rien d’inné et les études internationales montrent la même tendance. C’est aussi le cas pour les proches aidants adultes. Quand il y a un frère ou un père dans la famille, ce sont quasiment toujours les filles qui se trouvent d’abord mises à contribution. La répartition genrée des tâches a encore la vie dure. Et ce, quels que soient les situations et le milieu social.
Toutes les filles se s
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