D’abord, je souhaitais contribuer à l’amélioration de la connaissance sur la jeunesse vivant en France, en produisant un savoir sur un sujet qui jusque-là a fait l’objet de peu d’enquêtes sociologiques. Cette entrée par le prisme des filles amène à proposer le pendant des « gars du coin »(1). Quant aux territoires, j’en ai retenu deux bien définis et marqués par le tourisme (la presqu’île de Crozon, dans le Finistère, et la Chartreuse, dans l’Isère) et deux aux contours plus flous, surtout caractérisés par la forte empreinte de l’histoire industrielle (les Ardennes et les Deux-Sèvres). Dans tous les cas, pointe
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