« Une réelle alternative à l’Institut médico-éducatif ». C’est en ces termes que Catherine Legrain définit Cap inclusion. Lancé en novembre 2020, ce dispositif expérimental est le fruit de son histoire personnelle. Celle d’une maman qui a choisit de s’occuper de son fils de 12 ans atteint d’une maladie génétique – le syndrome de l’X fragile – en tant que particulier-employeur. « Une expérience de vie », dit-elle. Mais non sans difficultés. Alors, avec son association « X Fragile, et si demain », elle s’est rapprochée de l’agence régionale de santé (ARS) des Hauts-de-France et du Groupement des associations partenaires d’action sociale (Gapas) pour créer un dispositif qui soit le plus proche de l’accompagnement qu’elle offrait à son fils. Une expérimentation inédite en France. Il s’agit de proposer un suivi individualisé au plu
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