Recevoir la newsletter

“On mécanise les humains et on humanise les robots”

Article réservé aux abonnés

Quelques robots commencent à faire leur apparition dans les établissements pour personnes âgées dépendantes. Pour Jérôme Pellissier, ils peuvent libérer autant qu’aliéner et posent la question du consentement.
De quels robots parle-t-on quand on évoque leur usage avec les personnes âgées ?

En gérontologie, ce sont plutôt les robots dits « sociaux » de forme humanoïde ou animaloïde, qui se développent. En établissement, ils sont pensés pour « tenir compagnie » à la personne comme le ferait un animal familier, un chat ou un chien. C’est le cas, par exemple, d’un robot appelé Paro(1), qui est un bébé phoque en peluche. Actuellement, il est surtout utilisé par les professionnels comme support de médiation thérapeutique dans le cadre d’activités ou d’ateliers. Le plus souvent, l’Ehpad [établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes] n’en n’achète qu’un et ne peut donc pas le donner à un résident toute la journée. On est sur des pratiques très débutantes qui concernent essentiellement les personnes dépendantes, atteintes d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée. Pour le mome

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Entretien

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15