Implantée à Nantes, l’association Permis de construire rencontre la même problématique, étant financée à 80 % par le privé. « Nous essayons d’aller vers davantage de fonds publics pour nous pérenniser », assure Ludovic Dardenne, son directeur. En ce moment, l’association accompagne entre 20 et 30 personnes incarcérées ou sous contrôle judiciaire et considérées comme « pilotes de leurs projets ». Depuis la création de Permis de construire, il y a dix ans, l’équipe comptabilise « plus de 600 personnes aidées ». La structure a « mis du temps à se légitimer au sein du milieu pénitentiaire », admet Ludovic Dardenne, mais elle a désormais « un réel impact ».
Ainsi se concrétisent « 65 % des projets, tels qu’une reprise d’études en master, un
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