« Il faut engager un changement profond du modèle d’accompagnement. Le défi consiste à concrétiser un principe simple : la personne âgée doit se sentir “chez soi”, quel que soit son lieu de vie. Cela suppose d’affirmer résolument la nécessité de privilégier la vie au domicile de la personne […]. Cette priorité accordée au domicile exige de répondre à la fragilité économique des services d’aide et d’accompagnement à domicile. » Ces mots et ces orientations proviennent du rapport « Libault », rendu public en mars à l’issue de la concertation « grand âge et autonomie ». Il y est donc clairement indiqué que « priorité est accordée au domicile ». Or ce n’est pas ce que ressentent les acteurs du secteur. Alors que ce rapport est censé servir de base à la
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