A la différence d’autres pays – par exemple, de l’Allemagne à partir de 2015 –, la France n’a pas suffisamment investi pour une prise en charge adaptée de la demande d’asile. On voit dans les campements des personnes qui ne devraient pas s’y trouver, notamment des demandeurs d’asile et des réfugiés. Or on a des obligations en matière d’accueil. A contrario, on peut dire que la France est plus tolérante envers les sans-papiers, ceux qui n’ont pas demandé l’asile ou ceux qui en ont été déboutés. C’est une différence importante avec les autres métropoles, qui ne toléreraient pas que dorment dehors des per
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