On pourrait résumer la situation par la formule « beaucoup de bruit pour rien ». L’ambition de mise en concurrence des opérateurs à travers des appels à projets aurait pu s’entendre à une époque révolue où le secteur avait un Ondam médico-social à + 8 % avec une vraie ambition de développement de nouvelles réponses. Mais avec un Ondam qui navigue entre 2 % et 2,5 %, cela limite énormément le développement de nouveaux équipements. On distribue des petits crédits qui autorisent des petits développements et qui, finalement, se traduisent sur le terrain par des augmentations moins importantes, c’est-à-dire du saupoudrage qui permet à l’autorité publique de s’exonérer du recours aux appels à projets en passant sous les radars des seuil
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