Jean-François Krzyzaniak a derrière lui, comme il le dit, « 19 ans de rue ». Il a cherché à en sortir, mais « pas toujours de mon plein gré. La rue est vraiment devenue une addiction. » Durant ces années, « la rencontre » avec les structures médico-sociales « n’a pas eu lieu ». Jusqu’au jour où, poussé par un « ras-le-bol suite à une hospitalisation qui se passe mal », le patient coupe les ponts, disparaît de la circulation. Seulement, un infirmier psychiatre de centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) « parvient à retrouver le squat où j’étais. Le samedi suivant, il ne travaillait pas, mais il est venu avec son beau-père pour me con
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