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La double peine pour les « sans adresse »

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Un collectif interassociatif dénonce depuis plusieurs semaines les difficultés ou l’absence d’accès à une domiciliation administrative pour les personnes sans domicile stable. Objectifs : inscrire ce dispositif essentiel d’accès aux droits dans les priorités gouvernementales et obtenir son financement.
Pas d’adresse, pas de droit ! ».

Cette formule choisie par les associations résume clairement les conséquences sociales du non accès à la domiciliation pour les personnes sans domicile stable. Depuis plusieurs semaines, la Fédération des acteurs de la solidarité, le Secours catholique, Emmaüs France, Dom’Asile et le Collectif national droits de l’Homme (CNCH) Romeurope, se mobilisent pour interpeller le gouvernement sur les difficultés d’accès à la domiciliation rencontrées sur de nombreux territoires. « La domiciliation n’est pas qu’une adresse postale pour recevoir du courrier. Elle permet d’aborder d’autres questions telles que l’accès aux soins, l’hébergement, le logement, l’emploi. Pour beaucoup de nos associations qui ont des agréments, notamment des accueils de jour, cela permet de débuter un ac

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