A l’approche de la rentrée, plusieurs accompagnants des élèves en situation de handicap ne connaissent pas encore leur affectation. Un phénomène fréquent, d’après Elisabeth Garnica, membre du collectif AESH France : « Cela fait des années que cela fonctionne comme ça, certains AESH arrivent en fin d’année sans avoir d’affectation. Il faudrait rencontrer l’enfant en amont pour connaître la pathologie et s’adapter à ses besoins. Et même si l’on reçoit la notification en avance, on a le nom de l’élève mais pas son handicap, qu’on découvre le jour de la rentrée. »
Pour Anne-Charlotte Chéron, chargée de relations publiques et médias à l’Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de
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