Inspirée des écrits du philosophe Yves Michaud, une note de la PJJ (voir lexique page 32) du 24 décembre dernier rappelle qu’« il y a violence quand, dans une situation d’interaction, un ou plusieurs acteurs agissent de manière directe ou indirecte, en une fois ou progressivement, en portant atteinte à un ou plusieurs autres à des degrés variables soit dans leur intégrité physique, soit dans leur intégrité morale, soit dans leurs possessions, soit dans leurs participations symboliques et culturelles ». Selon cette définition, les situations de violences sont courantes dans les dispositifs qui accueillent de jeunes délinquants – CER, CEF et EPE ainsi qu’en milieu ouvert.
D’après Catherine Sultan, qui dirige la PJJ, de multiples paramètres sont susceptibles de concourir à l’émergen
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?