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Les migrants ne savent pas nager, le film de Jean-Paul Mari le montre dès ses premières images : celles de corps d’Africains échoués au fond de la Méditerranée… Images glaçantes, appuyées par la voix off qui précise que, en quinze ans, 30 000 personnes se sont noyées dans le cimetière méditerranéen. Mais le documentaire, diffusé sur Public Sénat dans le cadre de la journée commémorative internationale en faveur des réfugiés, n’est pas qu’un reportage choc, c’est avant tout un journal sur la vie à bord de l’Aquarius, le navire de l’opération SOS Méditerranée, où embarquent des bénévoles de toutes nationalités pour sauver des vies. Jean-Paul Mari est, lui aussi, monté à bord avec le reste de l’équipage pour une expédition de vingt et un jours le long des côtes libyennes. En attendant de croiser des embarcations de fortune, les bénévoles – qui ne regarderont plus jamais la mer de la même façon – répètent encore et encore les gestes de secours. Ils témoignent de leurs différentes expériences et des sentiments qui les traversent après chaque sauvetage. Un jour, des dauphins entourent l’Aquarius, comme pour le guider ver

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