Mirabelle, Scoubidou, Caramel, Luciole… ces noms de crèches ressemblent à des milliers d’autres en France. Et pourtant, ces établissements franciliens et gérés par l’Institut d’éducation et de pratiques citoyennes (IEPC) présentent une particularité de taille : 50 % des enfants accueillis ont des parents allocataires du revenu de solidarité active (RSA). « En France, les modes de garde sont traditionnellement ouverts aux enfants dont les deux parents travaillent, constate Mara Maudet, directrice de cette association qui gère neuf crèches en région parisienne(1). Mais pour les familles situées à la périphérie, comme les femmes sans emploi élevant seules leur enfant, c’est beaucoup plus compliqué. » Selon une étude de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DRE
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