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Premier bilan des expériences de police de proximité

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Alors que Jean-Pierre Chevènement se félicitait, lors des assises nationales de la police de proximité, le 30 mars, des expérimentations menées depuis un an dans une soixantaine de sites pour améliorer l'accueil dans les services de police et le contact avec la police, un rapport de l'inspection générale de la police nationale (IGPN) en pointe les insuffisances (1).

Les expériences de police de proximité souffrent d'un déficit de communication, relève l'IGPN. La majorité des personnels « ne s'est pas encore appropriée la doctrine de la police de proximité, souvent vécue comme une simple amélioration de l'îlotage traditionnel ». Ce qui traduit un «  véritable blocage culturel  ». Le contact avec la population «  s'est dans l'ensemble amélioré mais plus pour des raisons quantitatives que qualitatives ». En fait, la communication avec le public «  n'est pas encore au point » et les principaux partenaires «  se sont impliqués inégalement dans l'expérience  ». L'encadrement des adjoints de sécurité (2), emplois-jeunes qui constituent 50 % de la police de proximité, est «  insuffisant  ». De plus «  des incertitudes pèsent sur cet

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