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Quand la police assure aussi « le relais social »

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A Toulouse, cinq gardiens de la paix s'occupent exclusivement de l'accueil des personnes en difficulté, en liaison avec les services sociaux et les associations. Objectif : agir en prévention sur les situations non pénales que traite le commissariat. Mais jusqu'où la police peut-elle faire du social ?

« En cas de différends familiaux graves, c'est trop souvent la mère et les enfants qui doivent quitter le domicile. C'est un vrai problème. D'autant qu'il manque de places d'hébergement pour les accueillir. » Ces préoccupations sont celles du gardien de la paix Marie-France Sarda. Des questions qui, habituellement, font davantage le quotidien de l'assistante sociale que de l'agent de police, mais qu'elle partage pourtant avec quatre collègues masculins. Ensemble, ils forment, en effet, l'équipe du service d'accueil et de prévention  (SAP) de la police nationale à Toulouse (1). Cette structure un peu particulière, installée au cœur du commissariat central, est spécialisée dans l'accueil des publics en difficulté : femmes battues, enfants maltraités, adolescents en fugue notamment.

15 années d'expérience

Mais

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