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Les CAP et BEP restent des formations pertinentes, selon le CEREQ

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Infirmant l'idée reçue selon laquelle les certificats d'aptitude professionnelle  (CAP), brevets d'études professionnelles  (BEP) et diplômes équivalents sont condamnés par leur inadaptation au marché du travail, une récente enquête du Centre d'études et de recherches sur les qualifications (CEREQ)   (1) souligne «  la pérennité discrète » des diplômes de niveau V. Loin, en effet, d'être en déclin, le nombre de leurs titulaires au sein de la population active a augmenté de 11 % entre 1975 et 1990 et s'est stabilisé aujourd'hui autour de 30 %. Ce qui en fait «  le groupe le plus important parmi les actifs  ». De même, alors que ce niveau souffre d'une mauvaise réputation liée au fait qu'il connaîtrait un taux de chômage important, rien n'est moins sûr, notent les chercheurs. Car si, entre 1983 et 1987, ses diplômés ont été plus sensibles au chômage que ceux des niveaux supérieurs, aujourd'hui CAP et BEP «  conservent leur position relative » et, depuis 1994, leur taux de chômage est comparable à celui des niveaux IV. Bien plus, ces diplômes resteraient même «  une protection efficace contre le chômage »  : quatre ans après

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