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« LES 35 HEURES : ADAPTER LA LOI AUX SPÉCIFICITÉS DES ASSOCIATIONS SANITAIRES, SOCIALES ET MÉDICO-SOCIALES »

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Cette adaptation s'impose d'autant plus qu'il n'est pas question de porter atteinte à la qualité des prestations offertes à des publics fragiles ou en difficulté, avertit René Lenoir, président de l'Uniopss.

« Ce titre peut paraître abrupt : c'est aux personnes et aux institutions qu'il appartient de s'adapter à la loi et non l'inverse. Il est cependant justifié par les caractéristiques du secteur en cause. C'est ce que l'Uniopss a demandé à M. Marimbert, directeur des relations du travail, qui l'a reçue le 9 juillet. »

« Les services dispensés sont destinés à des publics fragiles : enfants et adolescents en danger physique ou moral, enfants et adultes handicapés, personnes âgées, malades. Le maintien de la continuité et de la qualité du service est incontournable. Le passage de 39 à 35 heures fait naître quasi mécaniquement un besoin de personnel, ce qui d'ailleurs est l'objet même d'une loi de partage du travail. »

« Mais alors qui financera le surcoût en personnel, compte tenu du fait que les charges de personnel représentent entre 60 et 80 % du total des charges dans ce secteur ? Ce peut

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