Voilà une étude qui jette un regard nouveau sur une prestation qui, en raison de son montant, est souvent jugée comme désincitative au travail. Au fil de ses entretiens auprès de 42 anciens allocataires à l'API (l'ayant perçue pendant six mois ou plus et en fin de droit depuis un à trois ans) des CAF de Créteil (Val-de-Marne), de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et de Perpignan (Pyrénées-Orientales), Véronique Aillet a écouté très longuement les discours de ces parents. Et tenté de repérer ce qu'ils étaient devenus depuis cette expérience « d'Apiste ». Quel impact l'allocation a-t-elle eu sur leur devenir ? Par aille
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