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Bilan de l'accord Durafour, sept ans après sa mise en place

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Le ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l'Etat et de la Décentralisation, Emile Zuccarelli, a présidé le 23 septembre la dernière réunion de la commission de suivi du protocole Durafour au cours de laquelle était examiné le bilan de ce texte.

Cet accord, signé le 9 février 1990 par le ministre de la Fonction publique de l'époque, Michel Durafour, et cinq syndicats - la FEN, la CFDT, la FGAF  (autonomes), la CFTC et la CGC-, avait pour ambition la rénovation de la grille des classifications et des rémunérations dans les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriales, hôpitaux). Au total, cet accord, appliqué sur sept ans, a coûté environ 43 milliards de francs en prenant en compte les charges sociales et les retraites notamment. Plus de 4 millions d'agents ont directement perçu 22 milliards de francs, sous la forme de mesures indiciaires ou de NBI (nouvelle bonification indiciaire).

En outre, un effort en direction des personnels les moins qualifiés a été entrepris, indique le ministère : ainsi 300 000 agents de la catégorie D ont été reclassés en catégorie C. Toutefois, la catégorie D n'a pas totalement disparu, «

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