Comment harmoniser les relations entre les professionnels, les familles, les bénévoles et la personne âgée reçue en établissement ?Comment négocier la place des uns et des autres, sans perdre de vue l'objectif principal, qui est de tendre vers la meilleure prise en charge possible de l'usager ? Comment concilier ce que Dan Ferrand Bechmann, sociologue à l'université de Paris-VIII, nomme des « solidarités concurrentes » ? Selon elle, en effet, « compte tenu des menaces qui pèsent sur les budgets, les gouvernements ont intérêt à ce que les familles et les bénévoles prennent tout en charge. Or, les établissements n'ont pas intérêt à voir se développer les sphères familiales et associatives ». Ces questions, à la fois complexes et récurrentes dans le domaine du travail social, ont été abordées lors du XIIe congrès de
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