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Une passerelle entre l'hôpital psychiatrique et la vie ordinaire

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Aider à l'insertion des malades mentaux dans le contexte actuel ? Utopique ?Risqué ? Au-delà de la simple insertion professionnelle, l'équipe du centre Jean Caurant tient, depuis 13 ans, le pari de l'autonomie.

Une plaque plutôt discrète sur un linteau de pierre indique le centre Jean Caurant : une vieille bâtisse rénovée en plein centre de Bagneux (Hauts-de-Seine)   (1). Fondé en 1984 à l'initiative de l'Union nationale des amis et familles de malades mentaux  (Unafam), ce centre d'insertion sociale et professionnelle (CISP) accueille entre 30 et 40 personnes malades mentales, âgées de 20 à 45 ans. Toutes ont présenté des troubles psychiques graves qui ont donné lieu à des séjours (de quelques mois à 15 ans) en hôpital psychiatrique. Difficile cependant, en pénétrant dans la salle commune à l'heure du café, de distinguer malades et personnel. Une première approche de ce qui est à la base du travail du centre : ne pas réduire les personnes à leur maladie. Le CISP, qui se compose d'un centre d'aide par le travail  (CAT), d'un foyer d'hébergement et d'un service de suivi et d'accompagnement postséjou

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