Huit ans après sa création, la DIRMI pourrait ainsi passer au second plan du paysage administratif. Ce qui marquerait probablement la fin d'une époque car cette structure de petite taille - guère plus de 15 personnes y travaillent - avait été conçue, à l'origine, pour donner une véritable visibilité politique et administrative au revenu minimum d'insertion (seul dispositif social à disposer de sa propre délégation). Avec, à sa tête, Bertrand Fragonard, spécialiste des questions sociales, ex-commissaire général au Plan et proche conseiller de Simone Veil au ministère des Affaires sociales, de 1993 à 1995. « La décision de créer la DIRMI correspondait à une volonté politique forte », témoigne Michel Raymond, qui partici
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