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« Les personnes en situation de handicap ont droit à une sexualité digne »

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Comment vivre pleinement une relation affective et sexuelle dans une institution en toute intimité ? Quel est le rôle des sextoys en établissement ? Où faire l’amour quand on vit encore chez ses parents ? Si les interdits s’estompent progressivement, l’épanouissement des personnes en situation de handicap est encore largement entravé, selon la sexologue Sheila Warembourg.
En vingt-cinq ans d’intervention sur l’accompagnement à la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap, Sheila Warembourg a vu se lever le tabou de la sexualité dans les établissements sociaux et médico-sociaux. Lors du séminaire de formation organisé les 1er et 2 juin à Paris par le Crédavis(1), la sexologue explique que du chemin reste encore à parcourir pour avoir accès à des lieux privatifs.Pourquoi dites-vous qu’en matière de sexualité l’ignorance rend vulnérable ?En restant ignorant, vous ne pouvez pas dire : « oui, je veux », « non, je ne veux pas », « oui, j’aime » ou « non, je n’aime pas ». Quand vous ne connaissez pas votre corps, que vous ne savez pas comment vous fonctionnez, ni ce qui se passe quand vous avez une excitation, ça vous rend vulnérable…
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