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Ce qui se cache derrière les « carrières » délinquantes

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Ce qui se cache derrière les « carrières » délinquantes

Même s’ils ont besoin d’être croisés à des sources complémentaires, les récits de vie irriguent le champ de la recherche. Une étude portant sur des jeunes suivis par la PJJ analyse ces parcours dans toute leur complexité, notamment grâce au recueil de leurs paroles.
« En primaire, je tapais tout le monde. Ça, c’est, je pense, parce que c’était que mes parents s’étaient séparés, je l’avais un peu mal. Je n’avais pas de copains, je ne voulais pas avoir de copains et j’aimais bien taper tout le monde. Je voulais toujours être le boss. Faire peur. » Ces mots sont de Christian, 18 ans, dont le parcours a bénéficié d’une analyse biographique dans le rapport intitulé « Carrières délinquantes et parcours de jeunes en institution » mené en 2022 par Hélène Cheronnet, chercheuse en sociologie et membre du Clersé(1) pour l’Ecole nationale de la protection judiciaire de la jeunesse (ENPJJ), ministère de la Justice. Il est l’un des sept jeunes qui constituent une partie du corpus de cette recherche : âgés de 18 à 23 ans, ils ont tous fait l’objet de mesures de justice pénale, ont été suivis en milieu ouvert et se sont racontés lors de deux entretiens semi-directifs…
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