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L’hébergement citoyen, compatible avec l’urgence ?

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L’hébergement citoyen a connu un test grandeur nature à l’occasion de l’accueil de personnes déplacées d’Ukraine. Pour beaucoup d’associations, son encadrement s’est révélé inédit, introduisant de nouvelles pratiques. Pour autant, l’intérêt de ce dispositif divise, dans un contexte d’urgence.
Quelques jours après les débuts de l’invasion russe en Ukraine, quand l’association Anef 63 s’est manifestée auprès des autorités pour organiser l’accueil de personnes déplacées dans le département de l’Allier, son directeur général, Gilles Loubier, n’imaginait pas sa nouvelle mission. Désignée comme association référente, sa structure a commencé à recevoir les appels de particuliers proposant d’accueillir des Ukrainiens. L’association a elle-même amplifié ce mouvement en organisant des réunions publiques. L’hébergement chez les particuliers démarre en avril, après deux à trois semaines en accueil d’urgence, le temps d’accomplir les premières démarches administratives. Une expérience « globalement positive ». « Avec le recul, l’hébergement citoyen s’est révélé indispensable, car nous n’avions pas les moyens d’avoir des centaines de places simultanées »,…
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