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Dans le nord de la France, des centaines de personnes attendent de traverser la Manche dans la peur des contrôles policiers et de la destruction quasi quotidienne de leurs tentes. William, salarié de l’association L’Auberge des migrants, se réjouit des mesures mises en place à Calais. « Il n’y a plus d’excuse maintenant ! », martèle-t-il. Voilà des années que l’association réclame aux autorités et à la mairie des conditions dignes d’accueil des exilés. Les pouvoirs publics viennent de faire la démonstration qu’il est possible d’accueillir dans le respect des droits de l’Homme. D’ailleurs, si ce n’était pas le cas, l’association n’aurait tout simplement pas de raison d’être, selon le militant. C’est là que le bât blesse, les multiples rapports des observateurs sur le terrain apportent des éclairages sans appel. Particulièrement celui publié par l’ONG Human Rights Watch, épinglant le gouvernement français pour sa « stratégie de détresse infligée aux enfants et aux adultes » à Calais.L’iconographie nous est désormais familière : des groupes d’hommes et de femmes de tous les âges. Leurs yeux balancent entre la peur et le désespoir de l’exil. Des photographies et des vidéos de déplacés…
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Une saison en migrations

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