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Effet de mode ou révolution ?

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La connaissance intime des mécanismes du cerveau peut-elle aider les travailleurs sociaux à mieux prendre en charge les personnes qu’ils accompagnent ? Depuis une dizaine d’années, les neurosciences sont partout, sur fond de débats clivants.
Parmi les courants de pensée qui ont contribué à l’évolution du travail social, certains, telles la psychanalyse, les théories de l’attachement ou encore la psychologie comportementale, ont influé de façon déterminante sur les pratiques sociales. Jusqu’à ce qu’adviennent les neurosciences. Et que, dans leur sillon, toutes les théories échafaudées pendant les décennies précédentes soient reléguées aux oubliettes. Il faut admettre que les découvertes réalisées à partir de l’exploration cérébrale ont drainé leur lot de surprises. « L’une des principales leçons que l’on peut retenir des recherches menées ces vingt dernières années sur le cerveau, c’est cette formidable plasticité qui le rend capable de s’adapter aux épreuves que l’humain traverse, retrace Claude Martin, sociologue et directeur de recherche au CNRS. Or ce n’est pas ce sur quoi insistent les commentaires et usages que l’on fait des neurosciences…
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