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Le pouvoir d’agir n’est pas le devoir d’agir

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Le « pouvoir d’agir » peut faire l’objet d’incompréhension, voire de rejet, du fait de sa proximité avec la notion ambiguë d’« empowerment », concept à deux faces, l’une émancipatrice et l’autre prescriptive. Il est donc urgent de définir ces termes pour éviter toute confusion.
« Politiques d’activation, responsabilisation individuelle, accent mis sur l’autonomie et la participation, les capacités et les compétences à mobiliser… l’empowerment prend une couleur bien particulière, teintée d’une obligation à être acteur et à s’engager dans des projets. Cela n’a rien à voir avec le « développement du pouvoir d’agir » tel que défini par le psycho-sociologue québécois Yann Le Bossé, qui en est l’inventeur.Si l’on décompose le mot d’origine anglo-saxonne, on obtient : « em » (processus), « power » (pouvoir), « ment » (qui produit un résultat), que l’on peut traduire littéralement par « processus d’acquisition d’un pouvoir qui produit un résultat » ou par « renforcement du pouvoir » de la ou des personne(s) concernée(s).On le voit bien, nous avons affaire à un concept flou et même dangereux dans son usage, dans le sens où il caractérise deux phénomènes…
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