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Une réforme sévèrement jugée par les professionnels

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A quelques mois de l’entrée en vigueur du nouveau code de la justice pénale des mineurs, et encore en pleine crise sanitaire, les professionnels de terrain de la protection judiciaire de la jeunesse s’interrogent sur sa mise en œuvre, et sur la façon dont il va modifier leurs pratiques.
« Depuis 19 ans que je travaille à la protection judi­ciaire de la jeunesse, on parle de cette réforme. On savait bien qu’elle arriverait un jour ou l’autre, mais le contexte difficile de la Covid fait qu’on n’est pas préparés », affirme Grégoire Meurin, responsable d’une unité éducative d’hébergement collectif à Arras (Pas-de-Calais).Pour Elodie Gotszorg, éducatrice de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) en milieu ouvert en Essonne, l’accélération se fait sentir depuis quelques mois : « On reçoit des notes de l’administration centrale, les audiences s’accélèrent, on nous demande de liquider nos dossiers, d’écrire nos derniers rapports. Et en même temps, nous étions dans une grande incertitude jusqu’à récemment, car le débat parlementaire n’avait pas encore eu lieu. On passe d’un ancien système où il y a un stock à apurer, à un nouveau. Heureusement…
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