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Centres éducatifs fermés, un choix politique contestable

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Alors que la protection judiciaire de la jeunesse se prépare à construire vingt nouveaux centres éducatifs fermés, les problèmes dans les établissements existants persistent, particulièrement en matière de ressources humaines. Une stratégie qui pose d’autant plus question que le déploiement de ces centres pourrait s’opérer au détriment d’autres types d’hébergement.
« Antichambres de la prison », « alter­native à l’incarcération »… Depuis leur création par la loi « Perben I » en 2002, les centres éducatifs fermés (CEF), à mi-chemin entre idéologie sécuritaire et dimension éducative, se sont largement invités dans le débat public. Emmanuel Macron en promettait une centaine sur le territoire lors de sa campagne présidentielle en 2017. Finalement, 20 centres devraient voir le jour et s’ajouter aux 51 existants, accueillant chacun, pour une durée prévue de six mois, 8 à 12 mineurs. Une orientation politique qui mobilise la justice : la hausse des crédits de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) est aujourd’hui étroitement liée à la création de ces centres, très onéreux par rapport au nombre de jeunes accueillis.Pourtant, aucune étude récente…
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