Sur 24 administrateurs, 18 doivent être en situation de handicap et, sur les six restants, deux doivent représenter les familles… Voilà ce que prévoient les statuts d’APF France handicap en matière de gouvernance au niveau national. Pour compléter le dispositif sur le plan local, l’association a mis en place en 2003 des conseils départementaux et régionaux forcément incarnés par une personne handicapée, « pour toujours demeurer considérée comme représentative des personnes », indique le directeur général adjoint, Patrice Tripoteau. Au risque, sinon, d’être cantonnée au seul rôle d’association gestionnaire. Un qualificatif souvent utilisé pour dénoncer…
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