« On trouve près d’une cinquantaine de raisons de ne pas y arriver. » Chef de projet à la fondation des Apprentis d’Auteuil, Daniel Maciel se montre lucide quant aux difficultés de la participation des jeunes. Pas de quoi, pour autant, renoncer à cet objectif prioritaire au sein de sa fondation, qui en appelle à une certaine créativité. « Des jeunes participent à nos évaluations internes. On monte une animation adaptée qui permet à chacun de s’exprimer et de donner son avis », soutient-il. La participation doit infuser à tous les niveaux, de l’organisation des fêtes à la conception du projet éducatif. Chargé des questions participatives, il boit « du petit lait »…
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