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« Le sujet sait qu’il entreprend une démarche thérapeutique »

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Pour être efficace, le dispositif d’art-thérapie doit s’adresser à des sujets stabilisés, conscients que les bénéfices de cette démarche volontaire leur demandera du temps et de l’investissement. Pour l’art-thérapeute Martine Colignon, la compréhension mutuelle entre art-thérapeute et patient constitue la clé de voûte d’une bonne prise en charge.
Vous défendez la pratique de l’art-thérapie avant tout dans le cadre psychiatrique. Pouvez-vous expliquer pourquoi ?Il règne une grande confusion actuellement autour de l’art-thérapie. Je me réclame clairement de la thérapie par l’art, qui plonge ses racines dans les recherches menées au sein de l’hôpital psychiatrique de Saint-Anne, à Paris, dans les années 1960. Les patients que je reçois aujourd’hui sont en ambulatoire ou hospitalisés, mais, à la différence de nombreuses initiatives, ils relèvent d’une indication médicale donnée par un psy­chiatre ou un psychologue. Il y a des conditions, bien sûr : ces patients doivent être stabilisés, ne pas craindre le groupe et éprouver une certaine appétence pour l’art. L’art-thérapie est une démarche volontaire et demande d’être engagée dans un processus de…
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