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Accompagner sans – trop – normaliser ?

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Un processus de normalisation existe dans la pratique des assistants de service social. Mais s’ils sont incités à trouver un « juste milieu » entre le contrôle et l’aide, ils peuvent aussi s’appuyer sur l’éthique pour trouver un sens à leur intervention, défendent Clémence Houdayer, assistante sociale, et Régis Robin, formateur en travail social à l’Arifts (Association régionale des instituts de formation en travail social Pays de la Loire) à Angers.
« Quel rapport entretient l’assistant de service social, missionné pour lutter contre toutes les formes d’exclusion et favoriser l’intégration de chaque citoyen, avec la norme ? Quel rôle joue celle-ci et quel impact a-t-elle dans l’élaboration de sa pratique ? Le professionnel doit-il tendre à un enseignement de la norme aux usagers ? N’essaie-t-il pas de rendre l’usager conforme à ce que la société attend de lui ? Entre contrôle social et perspective intégratrice, l’existence d’un processus de normalisation vient directement interroger le sens de la pratique des assistants de service social et le rapport qu’ils entretiennent avec la société, l’institution, l’usager ou les fondements de leur profession.Assimilée…
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