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Plaidoyer pour un collectif associatif sur les 35 heures

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« Nos missions, notre sensibilité aux fractures sociales, notre implication dans des situations gravement et durablement dégradées, nous obligent à nous associer à la réalisation de l'objectif fixé par la loi [sur les 35 heures] avec un double impératif : créer de l'emploi durablement et suffisamment pour éviter une dégradation significative de nos conditions d'intervention », affirme Alain Peyronnet, directeur général de l'association Olga Spitzer   (1). S'il relève que ces constats font « la quasi-unanimité dans le secteur associatif », celui-ci déplore pourtant l'attitude «  p aradoxale » de ses représentants, notamment de l'Unifed, qui, «  sans avoir consulté leurs adhérents associatifs, se sont lancés dans des négociations » sur les 35 heures. Ou qui, à l'instar d'organismes à vocation professionnelle, organisent des journées d'étude et « font entendre des discours changeants ». « Si le secteur associatif se sent aussi mal représenté et entendu, pourquoi ne se donne-t-il pas les moyens d'une expression plus directe ? », s'interroge Alain Peyronnet. Sous l'effet «  des coups de boutoir administrés depuis 20 ans »

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