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Des avortements moins nombreux et plus sûrs

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Selon une étude de l'Institut national d'études démographiques  (INED), le nombre des avortements diminue en France contrairement à ce que redoutaient les détracteurs de la loi Veil de 1975. De 250 000 en 1976, il est passé en effet à 220 000 en 1994. «  L'essentiel de la diminution a été acquis entre 1981 et 1988 » et «  52 % des avortements auraient été pratiqués dans le secteur public en 1994 », relève l'enquête. «  A partir de 23 ans, la fréquence d'avortements est plus grande chez les femmes qui vivent seules que chez celles qui vivent en couple », observe Chantal Blayo, l'auteur, qui souligne «  que le mode de vie (en couple ou non) importe plus que l'état matrimonial ». Par ailleurs, l'INED, qui rappelle que «  la légalisation de l'avortement provoqué avait été largement justifiée par des considérations de santé publique », note «  une chute spectaculaire des complications  ». Il y avait ainsi environ un décès par jour consécutif à un avortement dans les années 60, et deux par mois à la veille de la loi 1975, contre moins de deux par an, aujourd'hui. Néanmoins, si le recours à l'IVG est de moins en moins fréquent, cette diminution reste lente, constate l'INED. Ce qui inquiète…
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