[ABSENTEISME 8/21]
Quand on est auxiliaire de vie, les arrêts maladie ou les accidents du travail des collègues ont une incidence sur notre charge professionnelle autant physique que psychologique. Mais face au désarroi des bénéficiaires, il est difficile de ne pas s’impliquer plus.
L’effet dominoDans l’entreprise qui m’emploie, les plannings sont faits au mois, mais sont réajustés tous les jeudis. Quand une professionnelle est en arrêt maladie ou en accident du travail, la direction doit remanier toutes les interventions des autres membres de l’équipe pour que chaque personne accompagnée soit servie du mieux possible, selon sa situation, son état de dépendance, sa pathologie... Nous pouvons évidemment tous être malade. Je le conçois aisément. D’ailleurs, en période hivernale, il est difficile voire dangereux de venir travailler auprès d’un public vulnérable quand on est soi-même touché par un virus et symptomatique (fièvre, toux...). Quand on ne tient pas debout,…
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