Ce qui marque le plus lors des premières séances, c’est l’intérêt porté au chien, ce qui va jouer un rôle important dès le premier contact en simplifiant l’entrée en relation. Le thérapeute, accompagné d’un chien, est perçu comme plus abordable ou sympathique. Avoir des animaux semble conférer au praticien une sensibilité accrue et une empathie qui rassure le patient et aide instaurer une bonne relation thérapeutique qui va favoriser le bon déroulement des séances. Citons l’exemple de Mme R., 51 ans, qui vient pour un bilan à la demande de son neurologue. Ses plaintes sont alors limitées, elle ne comprend pas pourquoi elle doit consulter une orthophoniste qui, selon ses représentations, ne s’occupe que d’enfants qui p
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