Recevoir la newsletter

L’accompagnement dans la bientraitance : quand la bienveillance ne suffit plus

Article réservé aux abonnés Conseils de Pros

« Toutes les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ne se ressemblent pas. Bien sûr, il y des symptômes communs mais les malades ne présentent pas tous les mêmes et l’évolution diffère d’un individu à l’autre », souligne Stella Choque, cadre de santé formatrice IRFA Evolution.  

Crédit photo DR
[ALZHEIMER FRIENDLY 15/16] Entre surprotection et hyper stimulation, les aidants naturels sont souvent démunis. Les professionnels de l’accompagnement à domicile rencontrent également des difficultés pour adopter la « juste attitude ».

Les réactions contradictoires de chacun

Mme Martin vit très mal le fait que son mari, récemment diagnostiqué, ne veuille plus se rendre avec elle au club du troisième âge de son quartier. Elle pense qu’il ne fait aucun effort pour maintenir ses facultés cognitives. Cindy, l’auxiliaire de vie qui vient les aider à domicile croit bien faire en ne cessant de le questionner, à chacun de ses passages : « Quel est son plat préféré ? Comment le cuisiner et avec quels ingrédients ? » Elle trouve ses questions pertinentes car M. Martin était restaurateur. Quant à ses deux filles, elles ne veulent plus qu’il sorte seul de la maison ni qu’il bricole ou jardine (alors que ce sont ses passions) de peur qu’il ne se blesse ou provoque un accident.

Entre l’hyperstimulation des uns et la surprotection des autres, M. Martin se sent encore plus perdu et l’ang

La suite est réservée aux abonnés Conseils de Pros

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés Conseils de Pros

Alzheimer

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15